I love my job sticker

Après plus d’une décennie à enseigner l’anglais, j’ai beaucoup de chance de toujours aimer ce que je fais ! C’est une langue que j’ai d’abord découverte au collège, puis au lycée et enfin en Angleterre, dans le Wiltshire pendant 16 ans. De « matière scolaire », l’anglais a d’abord été un challenge. Puis il est devenu utile, indispensable, fascinant et même drôle ! Voici pourquoi j’aime le faire découvrir et j’ai déjà aidé plus d’une centaine d’étudiants à mieux le parler.

Definition of higgledy piggledy

1/L’anglais est une langue riche et ludique!

Comme en français, l’anglais a un vocabulaire riche et varié en partie en raison de son étymologie. (D’ailleurs, savez-vous que 30% vient du latin et du français ?!) De plus, j’en veux pour preuve les chansons anglophones, c’est une langue qui joue avec les sons ! Certains mots ressemblent à des onomatopées comme nincampoop ou shenanigans. Il y a aussi des mots dits « réduplicatifs » à cause de la répétition de syllabes comme hotch-potch, riff-raff, ou wishy-washy par exemple. J’avoue que mon préféré c’est higgledy-piggledy ! Ces mots familiers sont très courants et il y en a toujours de nouveaux à découvrir !

 

Definition of term blue-eyed boy

2/L’anglais est une langue efficace

Vous en avez sans doute entendu parler : les verbes à particules (ou « phrasal verbs ») peuvent paraître déroutants. Economes, ils n’ont besoin que d’un mot (la préposition) pour changer de sens, qui pour certains verbes, peut être très varié. Prenons par exemple le verbe to look (avoir l’air), qui devient to look at (regarder), to look like (ressembler), to look into (se renseigner), mais aussi to look after (chercher, poursuivre), ou encore to look forward to (avoir hâte), pour n’en citer que quelques-uns.

Avec les modaux c’est pareil : un seul mot fait toute la différence. On peut dire « I will come » (c’est sûr, je viendrai) ; « I should come » (je devrais venir) ; « I might come” (ce n’est pas sûr, mais j’espère pouvoir venir) …etc.

D’un autre côté, les classes grammaticales en anglais sont très fluides, par rapport au français. Ce qui fait que le mot « water » par exemple est à la fois un nom (l’eau) et un verbe (arroser) ! De même l’expression adverbiale « at the last minute » peut devenir un adjectif dans « a last-minute decision » (avec juste quelques changements orthographiques). Enfin, et n’est-ce-pas incroyable : pour décrire les caractéristiques physiques d’une chose ou d’une personne, on donne à un nom la forme d’un participe passé en -ED, alors devenu adjectif, comme dans l’expression « blue-eyed boy » !

Goldilocks zone

3/L’anglais est une langue conceptuelle

Grâce à son système de noms composés, il est facile d’évoquer des concepts compliqués en juxtaposant des mots simples et imagés. Dans ce cas, gare aux traductions mot-à-mot ! En effet l’expression « grassroots » fait référence non pas aux « racines de l’herbe », mais plutôt aux personnes en bas de l’échelle, « à la racine » d’une organisation. De même, à la Bourse, on parle d’un « bear market », qui n’est pas exactement un « marché de l’ours » ! En référence au proverbe équivalent en français d’« il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué », cela signifie que les investisseurs préfèrent attendre plutôt que d’acheter. Le marché est donc à la baisse. Enfin, et c’est une de mes préférées, la « Goldilocks zone » est inspirée du conte de Boucle d’Or et les 3 ours ! On veut désigner ainsi un endroit parfait, ni trop chaud, ni trop froid, comme pour le porridge de la princesse.

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4/ La langue anglaise nous permet de mieux connaître les valeurs et la mentalité anglo-saxonnes

Au fil des années j’ai pris conscience de la « can do » attitude des Américains (et aussi des Britanniques), c’est-à-dire un positivisme qui ne redoute ni la prise de risques, ni les échecs. Cela induit une capacité à entreprendre et à s’enthousiasmer très rafraîchissante ! Plus généralement, il est clair que les connaissances, mais aussi l’information 24h sur 24 sont disponibles en anglais. Quel avantage de pouvoir aller directement à la source plutôt que dépendre des traductions (si bonnes soient-elles) !

Humourous graph of what gives people feelings of power - money, status, knowing what is a meme

5/  Il est beaucoup plus facile qu’avant d’accéder à du contenu authentique

L’internet est bien sûr une ressource formidable et irremplaçable et qui facilite beaucoup l’enseignement de l’anglais aujourd’hui ! Côté divertissement, que ce soient les films en VO, les réseaux sociaux, les chansons, le choix ne manque pas pour se faire l’oreille, s’entraîner à lire ou à parler anglais. Sans oublier les vidéos, mais aussi des tutos, des podcasts, des dessins humoristiques et des memes ! D’ailleurs j’en partage plusieurs fois par semaine sur mon compte Instagram @parcours2langues.fr

Arrows

6/ L’apprentissage c’est vice-versa !

C’est vrai, j’aime enseigner l’anglais pour toutes ces raisons, mais la « cerise sur le gâteau », c’est de pouvoir personnaliser mes cours ! Je suis quelqu’un qui déteste la routine, donc ce qui m’aide à me lever chaque matin en gardant le sourire, c’est de pouvoir découvrir de nouveaux domaines d’expertise et des centres d’intérêt en fonction des étudiants. Au fil de la formation j’apprends de nouveaux métiers ou hobbies, du vocabulaire spécifique, un jargon professionnel, de nouvelles techniques, bref je continue aussi à apprendre: c’est stimulant et enrichissant.

How about you?

Si dans ces quelques lignes, j’ai réussi à partager ma passion et vous ai donné envie de vous (re)mettre à l’anglais, sachez que mes cours sont personnalisés et en ligne. Ainsi, les cours sont plus vivants et vous apprendrez mieux. N’hésitez pas à me contacter et vous lancer dans l’aventure !